Je viens ici pour rappeler la nature de nos premiers échanges au sujet de cet éventuel test :
"Ola chers membres,
Vous avez du le remarquer, la question des véhicules automobiles dits "polluants" revient sans cesse dans les débat paradigmiens.
Notre organisation s'est toujours positionné dans une attitude de lourde défiance vis à vis de ces véhicules et a toujours exprimé sa farouche opposition à la légalisation des engins à moteur.
Les courants pro-voitures nous reprochent souvent de ne pas disposer d'arguments solides pour étayer notre raisonnement.
Nous savons que les voitures polluent (il suffit de se tenir à coté d'une voiture en marche pour s'en rendre compte) mais nous de disposons pas d'études sérieuses à ce sujet.
Je propose donc que nous lancions une étude scientifique
approfondie, en utilisant un véhicule automobile : il s'agirait alors
de faire tourner ce véhicule et de prendre les mesures d'évolution de
pollution pour déterminer l'influence de la voiture en fonction de son
utilisation.
Je requière toutefois vos avis à ce sujet :
- Etes-vous favorables à ce type d'étude ?
- Avez-vous des suggestions sur la façon de la mener ?
- Seriez-vous prêt à y participer (dans l'équipe mesures et/ou dans l'équipe dépollution) ?
- Connaissez-vous quelqu'un qui serait prêt à nous prêter un véhicule ?
J'attends vos réponses...
Ecologiquement."
Puis, en réponse à Neferata :
"> J'ai des gros doutes sur l'utilité d'une telle démarche... En effet, tous les véhicules étant différents, il est impossible de savoir si tous les véhicules polluent.
Nous sommes bien d'accord, et nous pourrions commencer l'étude sur les seuls véhicules légaux au paradigme : les camions.
Ceux-ci ont en effet été légalisés un peu vite, en ne tenant sans doute pas compte des impacts écologiques d'une telle mesure.
> L'autre problème c'est qu'il n'y a pas d'étude comparative sur la pollution engendré par quelqu'un se déplaçant de la même distance mais à pied.
Ceci est bien sûr à prendre en compte dans notre protocole de test.
> Etude si la personne voyageant en voiture dépollue durant son trajet.
Il est impossible de garantir qu'un usager de véhicule dépollue (l'argument disant qu'un véhiculé a plus de temps pour dépolluer ensuite m'a toujours paru fallacieux, et hasardeux).
En revanche, nous pouvons arriver à déterminer les rapports pollution (temps d'usage) / temps de dépollution nécessaire.
> Une étude de l'impact du nombre de personnes dans le véhicule est-elle aussi envisagée ?
Cela pourrait être intégré dans le protocole.
> Aussi, tout ce que nous faisons dans la vie pollue, la coupe du bois, l'extraction d'or alors, comment savoir si il n'y a pas un groupe anti véhicule qui ne va pas polluer pour le plaisir pendant les tests ?
A nous d'essayer d'évaluer la part de pollution générée par le véhicule en mesurant les autres activités polluantes et leur impact (il va de soi que, pour ce faire, nous avons besoin de la "participation" de l'ensemble de la région, et la complicité du DDP.)"